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Les découvertes importantes faites par des équipes de préhistoriciens et d'anthropologues entre les an‐nées 1950 – 1970 dans la région du Nil moyen (KENYA,TANZANIE, ETHIOPIE), mettant à jour des milliers de fossiles concernant les premiers éges de la vie de l'homme il y a 1 500 000 ans (sites d'Oldu‐vai et d'Omo), nous permettent aujourd'hui de repenser le comportement erratique de nos lointains anctres sur la planète Terre dans une vision beaucoup plus large.

C'est certainement un mérite de la part des experts d'avoir déduit de tels rapports «en moyenne historique», de la seule connaissance de données «locales», sans rien connaître des liens naturels existant entre plusieurs étapes individuelles, c'est‐à‐dire sans la connaissance — jusqu'ici pratiquement impossible à avoir — de séries statistiques opportunes, décrites par les nombres des étapes des touristes individuels et les effectifs correspondant à ces nombres, ainsi que de séries statistiques décrites par les nombres des journées indiquant les séjours totaux de ces touristes et les effectifs correspondants. Aujourd'hui pourtant il ne suffit plus, évidemment, d'étudier le tourisme en s'appuyant sur des valeurs moyennes ayant pour base la totalité des voyageurs, valeurs qui ont une signification représentative réduite; il faut le faire par groupes distincts de touristes du même type, groupes qui dans la multitude des touristes existent certainement sous des aspects divers.

Aux experts axés trop exclusivement sur l'économie, le Professeur Hunziker rappelait opportunément que «l'homme lui‐même est le vrai centre du tourisme» et que la fonction économique du tourisme n'est que «subsidiaire», alors que «sa mission humanitaire» est «éminente».

A. La participation des jeunes au tourisme d'aujourd'hui et de demain: caractères socio‐économiques et organiques du problème I. Données du problème. Avec le tourisme des jeunes il en va de même qu'avec d'autres apparitions dont le secteur du tourisme n'est pas épargné, comme par exemple le tourisme social: elles sont tellement dans toutes les bouches qu'elles courent le risque de devenir des expressions à la mode et des slogans; nombreux sont ceux qui tout d'abord les re‐jettent avec un haussement d'épaules avant de devoir finalement avouer qu'il existe effectivement un complexe de problèmes qu'il faut prendre au sérieux.

Réaliser un inventaire mondial des ressources touristiques actuellement existantes sur la planète peut paraître une tâche ambitieuse. Elle est pourtant à la mesure des moyens (informatique) dont nous disposons. Elle vient également à son heure puisque de ponctuel et discret il y a un siècle le tourisme est devenu contigu et généralisé, faisant tache d'huile d'un continent à un autre et représentant finalement un patrimoine culturel international continu à la disposition de tous, librement et sans contraintes. Cette idée nouvelle (qui n'est pas encore exprimée au niveau des organismes tels que l'UNESCO ou l'OMT) doit pourtant servir de base à une Charte du Tourisme, définissant clairement les droits de chacun à l'accès à ce patrimoine et impliquant aussi les devoirs de protection de ce dernier contre les pollutions industrielles ou les destructions dues aux guerres.

International tourism is steadily growing. Some people welcome this growth which supports economic and social development. Others are suspicious and afraid of the threat which tourism could create for the tourist destinations, the loss of cultural identity and of social alienation to its society. Reality is more complex than these two contrary positions suggest. After analyzing the existent attempts to explain the social effects of tourism, this paper intends to illustrate the variability of these effects. In this regard, the globalisation of human activities and its consequences on cultural identity are taken into account.

I. Dans les transformations en cours qui changent la face du monde, qui modifient de plus en plus profondément nos rapports avec la nature, avec les autres, avec nous‐mêmes, l'expansion du tourisme, son développement à l'échelle planétaire est sans doute un des faits les plus importants, sur le plan économique, sur le plan social, sur le plan international. Jamais encore les migrations touristiques n'avaient mis en mouvement de telles masses d'hommes.

Le problème de la formation professionnelle mais également celui de l'éducation et de la formation culturelle ne sauraient échapper à l'emprise de la société dans laquelle nous vivons actuellement. L'Institut International de Glion, fondé il y a maintenant plus de 6 ans, s'est spécialement attaché à la création d'un type d'enseignement qui tiendrait largement compte de ces éléments, eux‐mêmes rattachés aux changements structurels et quantitatifs qu'a fait subir l'évolution du tourisme à toutes les formes d'hébergement. C'est une des raisons pour lesquelles l'enseignement proposé à Glion se différencie, dans de très nombreux secteurs, de la formule qui semblerait classique et qui est celle que nous rencontrons dans les écoles professionnelles hôtelières de la plupart des pays européens et du monde.

Cet article étudiera la bipolarité des mythes et archétypes utilisés par les publicités touristiques pour inviter au voyage. L'auteur questionnera la valeur des mythes vis‐à‐vis du touriste. Elle analysera la démarche active pré‐requise à la transformation.

This research focuses on examining the dynamics of task and interpersonal conflict related to the creativity of teams over five stages of a project's life cycle. Data were collected from 142 respondents of information system development project teams of a service‐driven type, and from 106 respondents of new product development teams of a technology‐driven type. Results indicate that interpersonal conflict has a negative impact on creativity for a service‐driven project team. However, task conflict has a positive impact on creativity for a technology‐driven project team. The findings suggest that managing different types of project teams necessitates concern with the variations of conflict and creativity over a project's life cycle.