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Purpose – Although it is acknowledged that the dissemination of financial information to stakeholders is a communications process, the main focus of prior research has been on the documents themselves rather than the context in which the information is generated, selected and disseminated. This paper remedies this deficiency by drawing on communication theory to construct a substantive model of the annual financial reporting exercise. Design/methodology/approach – A longitudinal study employing grounded theory was conducted in a non‐market corporate in the U.K. This involved documentary analysis, non‐participant observation and in depth interviews. Findings – The research identified three distinct functions of financial reporting which are formed through the inter‐action of four major determinants: producers' objectives, stakeholders' objectives, the political determinant, the environmental determinant. The level of satisfaction of producers and stakeholders with the perceived function of the annual corporate report leads to an aftermath. This may be either a reinforcement aftermath or it may be a destabilizer aftermath that will necessitate changes in the four determinants. Research limitations/implications – The study was conducted in a non‐market corporate in the UK and caution should be used in attempting to generalize to market corporates. Originality/value – The substantive model offers a diagnostic framework to further explore the nature and dynamics of the annual financial reporting exercise with the evidence of an aftermath being a key finding from the research.

This study aims to contribute to strategic crisis communication research by exploring international media representations of third sector crises and crisis response; expanding the range of crisis types beyond transgressions; and developing a framework that integrates framing and crisis communication theory.

Quantitative content analysis was applied to identify patterns in crisis reporting of 18 news media outlets in Canada, Germany, India, Switzerland, UK and US. Using an inductive framing approach, crisis coverage of nonprofit organizations (NPOs) and intergovernmental organizations (IGOs) between 2015 and 2018 was analyzed across a wide range of crises, including but not limited to prominent cases such as Oxfam, Kids Company, or the Islamic Research Foundation.

The news media in six countries report more internal crises in the third sector than external crises. The most frequent crisis types were fraud and corruption, sexual violence/personal exploitation and attacks on organizations. Exploratory factor analysis revealed three components of crisis response strategies quoted in the media, conditional rebuild, defensive and justified denial strategies. Causal attributions and conditional rebuild strategies significantly influenced media evaluations of organizational crisis response. Three frames of third sector crises were detected; the critique, the damage and the victim frame. These frames emphasize different crisis types, causes, crisis response strategies and evaluations of crisis response.

The study reveals the particularities of crises and crisis communication in the third sector and identifies factors that influence mediated portrayals of crises and crisis response strategies of nonprofit organizations (NPOs) from an international comparative perspective. The findings have relevant implications for crisis communication theory and practice.

Les mutations importantes observées depuis une quinzaine d'années dans tous les domaines de la vie se reflètent dans le tourisme, ses services et ses produits. De nouvelles formes de vacances, de voyages et de loisirs émergent et prennent le pas sur les types les plus classiques. Face à cette montée de nouvelles conceptions, dont le tourisme alternatif est devenu le symbole le plus évident, se font entendre ceux qui estiment qu'il ne faut plus considérer le patrimoine de manière élitiste, qu'il existe de nouvelles formes de patrimoine à protéger, mettre en valeur et montrer aux touristes et aux populations.

L'industrie de la restauration connait dans son ensemble, au Québec, un certain nombre de difficultés. Les raisons sont diverses dont l'absence ou l'insuffisance d'une analyse de marché, la faiblesse de la conception, de la planification, de l'exécution et du contrôle des activités des entreprises de ce secteur. Mais il y a aussi et surtout le déséquilibre financier qui caractérise la majorité des restaurants que ce soit en raison d'une capitalisation insuffisante en début d'activité ou à cause d'une gestion loin d'être satisfaisante. Des facteurs institutionnels défavorisent aussi l'activité de la restauration au Québec depuis 1980, et parfois même avant cette période, auxquels s'ajoute une conjoncture très difficile en 1981–83 dont les conséquences continuent à se faire sentir jusqu'aujourd'hui. L'année 1985 a enregistré près de 2700 changements de propriétaires de restaurants au Québec tandis qu'approximativement 450 ont disparus pendant cette même année. L'ensemble des transferts de propriétés — dus à des difficultés financières et à des liquidations à bas prix dans la plupart des cas — et des liquidations et fermetures définitives de restaurants constituent près du quart du nombre total (soit 12'400) de restaurants opérant au Québec en 1985. Les pertes enregistrées par une évolution si défavorable sont substantielles et indiquent combien une partie non négligeable de l'industrie de la restauration gaspille des ressources. Il faudra établir, dans la mesure du possible, car les statistiques officielles sont fort limitées, les causes et les facteurs explicatifs des difficultés considérables vécues par les entreprises de la restauration. Il faudra ensuite tenter de dégager les grandes lignes des mesures susceptibles de redresser leur situation financière essentiellement par une amélioration de la gestion et par une réglementation et une législation fiscale plus adéquates. Plusieurs recommandations sont formulées afin de rétablir la rentabilité des restaurants dans un environnement très concurrentiel.