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In light of the growing number of refugees and immigrants in Canada, this paper aims to identify barriers to mental health services for newcomer immigrants and refugees in Quebec and to examine how mental health services can be improved for these populations.

In this qualitative study, semi-structured individual interviews with Farsi-speaking health professionals and focus group interviews with participants from community organizations in Quebec were conducted.

Participants, both health-care professionals and community members, reported that mental health services are not readily accessible to Farsi-speaking immigrants and refugees. Structural barriers, language barriers, cultural safety and stigma were identified as obstacles to accessing care. Recommended strategies for improving access to mental health care are discussed.

Multiple studies have found that language and cultural barriers are associated with health inequalities and under-utilization of mental health services among linguistic and ethnic minorities. However, there are limited data on many groups and contexts, and a need to better understand how language barriers affect health outcomes, service utilization, patient satisfaction or overall costs to the health system or to society. In response to this gap, the present study explores how access to mental health services for Farsi-speaking newcomers may be limited by structural and linguistic barriers and cultural differences and as well as to identify strategies that can reduce the identified barriers.

Compte tenu du nombre croissant de réfugiés et d'immigrants au Canada, cette étude vise à identifier les obstacles aux services de santé mentale pour les nouveaux arrivants immigrants et réfugiés au Québec et à examiner comment les services de santé mentale peuvent être améliorés pour ces populations.

Dans cette étude qualitative, des entretiens individuels semi-structurés avec professionnels de la santé parlant le Farsi et entretiens avec des participants des organisations communautaires au Québec ont été menées.

Les participants, tant des professionnels de la santé que des membres de la communauté, ont déclaré que les services de santé mentale sont inaccessibles aux immigrants et réfugiés parlant le Farsi. Obstacles structurels, les barrières linguistiques, la sécurité culturelle et la stigmatisation ont été identifiées comme des obstacles à l'accès aux soins. Les stratégies recommandées pour améliorer l'accès aux soins de santé mentale sont discutées.

De nombreuses études ont montré que les barrières linguistiques et culturelles sont associées à les inégalités en matière de santé et la sous-utilisation des services de santé mentale chez les minorités linguistiques et ethniques. Cependant, les données sont limitées sur de nombreux groupes et contextes, et il est nécessaire de mieux comprendre comment les barrières linguistiques ont une incidence sur les résultats de santé, l'utilisation des services, la satisfaction des patients ou les coûts globaux pour le système de santé ou à la société. En réponse à cet écarte, la présente étude examine comment l'accès aux services de santé mentale pour les nouveaux arrivants parlant le farsi peuvent être limités par des barrières structurelles et linguistiques et des différences culturelles, ainsi que d'identifier les stratégies de réduire les obstacles identifiés.