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Both franchising and internationalisation are important subjects of study, but in the existent literature little attention has been given to these two topics combined. The purpose of this paper is to analyse the internationalisation through franchising, using as a case study the internationalisation process of Parfois, a specialised retail brand based in northern Portugal, and operating in the fashion accessories business.

A case study approach was adopted based on information collected from various sources, including the company's website, the World Bank database, some news reports about Parfois, and also from interviews with those responsible for the internationalisation of Parfois.

The authors have identified a clear pattern in the internationalisation process: the firm is willing to open its own stores in the European market, where it feels comfortable, allowing franchisees to assume the investment risk in other world regions, with particular relevance for the Middle East and Eastern Europe.

In the international competitive market, it is important for other retail brands to understand how a relatively small retail brand, based in a depressed European zone, is able to expand worldwide. Furthermore, the lack of existing literature about internationalisation through franchising in specialised retailing companies adds value to this study.

This paper aims to review the latest management developments across the globe and pinpoint practical implications from cutting-edge research and case studies.

This briefing is prepared by an independent writer who adds their own impartial comments and places the articles in context.

After opening its first store on Porto's main commercial street in 1994, the fashion accessories specialist Parfois soon began its expansion into Portuguese shopping centers, offering a wide range of products from shoes and hats to jewellery, handbags and purses. Less than 20 years later and the company not only has stores in Portugal, Spain and France, but also in the Philippines, Saudi Arabia, Egypt, Canary Islands, Mozambique, Russia, Romania, Jordan, Oman and Angola – and that is by no means an exhaustive list of countries “conquered” by this relatively small European retail brand. Rapid expansion has been helped by the company's strategy of being willing to open own stores in the western European markets, where it feels comfortable, and letting partners assume the investment risk elsewhere.

The paper provides strategic insights and practical thinking that have influenced some of the world's leading organizations.

The briefing saves busy executives and researchers hours of reading time by selecting only the very best, most pertinent information and presenting it in a condensed and easy-to digest format.

De tous temps les faits ont marqué le pas sur les idées. Il en est ainsi du tourisme dont l'apparition a soulevé un nombre croissant de problèmes d'ordre pratique: outillage hôtelier, transports, manifestations, etc. C'est dans ce cadre technique, empirique, que le tourisme et son économie se sont présentés aux yeux du monde. La science ne trouva aucun intérêt à se pencher sur un phénomène qui ne semblait être assimilable ni à la production des richesses, ni à leur répartition. C'est pourquoi la genèse du tourisme moderne n'a point préoccupé les sciences économiques et sociales, qui se trouvaient alors sous l'influence de l'école classique. Tout au plus quelques économistes, traitant du luxe, y avaient incorporé les dépenses somptuaires occasionnées par les voyages et portaient des jugements parfois sévères, parfois indulgents, sur ce qu'ils appellaient, comme John Stuart Mill, une consommation improductive.

Il est trois saisons — printemps, automne, hiver — où l'information routière revêt une grande importance pour les usagers de la route et le tourisme en général. En été, elle joue parfois un rle de premier plan lors de circonstances exceptionnelles (inondations, embouteillages, déviations, etc.). Le Touring Club Suisse lui voue donc une attention permanente et ne cesse de la développer par tous les moyens: presse, radio, TV, téléscripteur, téléphone. Les lignes qui suivent sont un aperçu de l'activité actuellement déployée en ce domaine.

La protection de la nature et l'expansion touristique soulèvent aujourd'hui beaucoup de problèmes qui leur sont communs ou qui se chevauchent parfois et cela pour deux causes principales:

Pour différentes raisons, une place de plus en plus dominante est attribuée au tourisme dans le cadre du développement économique. Depuis quelques années déjà les pays touristiques européens dits «classiques» se voient confrontés avec des concurrents, points blancs sur les cartes touristiques il y a quelques années seulement. Les grands organisateurs de voyages européens proposent aujourd'hui au public des régions touristiques au cachet encore extraordinaire et parfois même aventureux mais qui demain seront fréquentées par tous les milieux. Il est fort possible que, dans un avenir très proche, le Sahara, l'Amazonie ou l'Himalaya soient aménagés en stations touristiques très confortables.

Pour bon nombre de pays d'économie attardée, mais favorisés par des conditions climatiques attrayantes, le tourisme apparaît de plus en plus comme une des chances décisives et un des principaux facteurs de la croissance nécessaire. Quelques réussites récentes, au moins sur le plan statistique, sont fort spectaculaires et la floraison simultanée, en de nombreux points du globe, d'ambitieux programmes touristiques ne manque pas d'impressionner. Pourtant, le jugement porté sur les effets économiques d'un tel choix demeure à la fois plus prudent et plus nuancé. La question essentielle peut ainsi être posée: les économies en voie de développement sont‐elles capables de retenir et d'utiliser sur place les revenus, parfois considérables, distribués par les touristes étrangers? Et ces revenus sont‐ils susceptibles de jouer un rôle décisif dans le «décollage» économique, en soutenant les objectifs nationaux essentiels, en ne détournant pas le pays des priorités et des contraintes de la croissance?

L'industrie de la restauration connait dans son ensemble, au Québec, un certain nombre de difficultés. Les raisons sont diverses dont l'absence ou l'insuffisance d'une analyse de marché, la faiblesse de la conception, de la planification, de l'exécution et du contrôle des activités des entreprises de ce secteur. Mais il y a aussi et surtout le déséquilibre financier qui caractérise la majorité des restaurants que ce soit en raison d'une capitalisation insuffisante en début d'activité ou à cause d'une gestion loin d'être satisfaisante. Des facteurs institutionnels défavorisent aussi l'activité de la restauration au Québec depuis 1980, et parfois même avant cette période, auxquels s'ajoute une conjoncture très difficile en 1981–83 dont les conséquences continuent à se faire sentir jusqu'aujourd'hui. L'année 1985 a enregistré près de 2700 changements de propriétaires de restaurants au Québec tandis qu'approximativement 450 ont disparus pendant cette même année. L'ensemble des transferts de propriétés — dus à des difficultés financières et à des liquidations à bas prix dans la plupart des cas — et des liquidations et fermetures définitives de restaurants constituent près du quart du nombre total (soit 12'400) de restaurants opérant au Québec en 1985. Les pertes enregistrées par une évolution si défavorable sont substantielles et indiquent combien une partie non négligeable de l'industrie de la restauration gaspille des ressources. Il faudra établir, dans la mesure du possible, car les statistiques officielles sont fort limitées, les causes et les facteurs explicatifs des difficultés considérables vécues par les entreprises de la restauration. Il faudra ensuite tenter de dégager les grandes lignes des mesures susceptibles de redresser leur situation financière essentiellement par une amélioration de la gestion et par une réglementation et une législation fiscale plus adéquates. Plusieurs recommandations sont formulées afin de rétablir la rentabilité des restaurants dans un environnement très concurrentiel.

L'importance de l'activité touristique pour les finances publiques a été, depuis longtemps, mise en lumière. En particulier, la place des exportations invisibles dans l'équilibre de la balance des comptes était l'un des thèmes favoris des économistes du début du siècle. Par contre, l'influence des finances publiques sur l'activité et sur le développement touristiques d'un pays est un phénomène relativement récent. Approximativement contemporain du mouvement général d'interventionisme qui a suivi la première Guerre mondiale, il s'est considérablement accru au cours des quinze dernières années, en même temps que prenaient corps les doctrines et les techniques de planification. Et le développement des modes publics de financement apparaît aujourd'hui comme l'un des moyens essentiels de la planification.

C'est devenu un lieu commun que de voir, à la suite d'André Siegfried, dans le tourisme, l'un des phénomènes les plus originaux et les plus importants du monde moderne, un fait social de première grandeur, qui s'est définitivement imposé, non seulement comme une technique quasi‐scientifique du voyage, mais aussi comme un témoignage significatif des tempéraments nationaux contemporains.