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The author examines the industry, little known in the West, which produces European‐style wine in Japan. The technique of wine‐ making came to Japan from China approximately 1,200 years ago and it is known that by the end of the 12th century wine was being produced near Mount Fuji from an indigenous vine, the Koshu, which is still in use today. European wine was introduced into Japan in the 16th century when Catholic missionaries from Portugal introduced red wine for sacramental purposes. The real growth in wine‐making, however, came in the mid 1850's when the country began to open up to the West and the Japanese to develop an interest in all things Western. The article continues with a study of one particular producer, Château Lumiere SA, which, since 1957, has been run by an ex‐economics professor, Toshihiko Tsukamoto. Chateau Lumiere produces both red and white wines and these have won numerous prizes at international competitions. Mention is made of the production techniques developed by this successful producer.

Rassemblement des congressistes. — Un bureau d'accueil du Congrès se tiendra en permanence, de 18 h. à 22 h., au Comité de tourisme de Paris — 7, rue Balzac — Paris (8e) — tél. BAL. 90–05. — Il est recommandé aux congressistes de bien vouloir prévenir ce bureau d'accueil de leur arrivée; ils pourront y obtenir les dernières précisions se rapportant à l'organisation du Congrès. — D'autre part, des bureaux d'accueil du Comité de tourisme de Paris fonctionnent à l'arrivée des gares du Nord, de l'Est, de Lyon, Saint‐Lazare, et pourront donner tous renseignements utiles sur le Congrès.

Enfin, un autre effet important de l'auto sur le tourisme est l'éparpillement géographique de l'hébergement. Pendant longtemps, les hôtels étaient concentrés dans certaines localités. Comme le choix de l'étape dépend désormais de la volonté exclusive du conducteur, il n'a plus été nécessaire de s'arrêter dans les cités traditionnelles et il est même apparu préférable de loger à l'écart des grandes villes. Du coup, les auberges de campagne, les rustiques cafés de village, qui n'avaient qu'une clientèle locale, ont subi des aménagements pour recevoir les touristes de passage. Les localités situées sur les variantes des itinéraires classiques, sur des routes parallèles aux axes de grand trafic servent ainsi d'exutoire au tropplein des hôtels placés sur le trajet le plus rapide. Exemple: la rive droite du Rhône à partir de Valence jusqu'à Marseille. Il arrive de plus en plus fréquemment que l'automobiliste consente à un petit détour, quittant la grande voie pour l'étape. Il en est souvent récompensé, comme celui qui, se rendant de Madrid à Séville ou à Grenade, passe par Ubeda, localité pittoresque et pourvue d'un grandiose parador, quoique distante d'une quarantaine de kilomètres (maximum accepté par le conducteur!) de Bailen, nœud routier important, lui‐même disposant d'une albergue de carretera.

C'est un fait que les touristes souhaitent profiter de plus en plus des ressources offertes mais que d'autre part les responsables de leur offre veulent également exploiter les ressources au maximum.

Fonds d'intervention culturelle (FIC) Service rattaché au Ministère de la Culture — à fonction interministérielle — géré par un Comité interministériel et destiné à financer des innovations culturelles

Les Instances dirigeantes de notre Association ayant fait l'honneur aux Experts français de leur confier le soin d'élaborer les rapports concernant d'une part, sur le plan vertical, «la mesure des flux touristiques dans les stations et les régions», d'autre part, sur le plan horizontal, «les aspects nationaux de la mesure des flux touristiques», nous avons choisi de charger l'un des nôtres, M. Marc Boyer, attaché de recherches au Centre National de la Recherche Scientifique, de l'établissement des études correspondantes, en raison de ses travaux antérieurs qui l'ont rendu spécialement averti des problèmes en cause.

Cet article est la suite logique d'un article publié précédemment (juillet‐septembre 1954) dans cette même revue. Une méthode (s'appuyant plus sur des potentiels que sur des faits difficilement recensables), quelques valeurs de calcul ébauchées, puis précisées ultérieurement toujours grâce à l'obligeance de la Revue de Tourisme (dispersion sociale — juillet‐septembre 1956; concentration hôtelière — mars‐avril 1957) ont alors été proposées pour éclairer les chances de développement d'une région de tourisme. Ces outils d'analyse se sont‐ils révélés applicables, en dehors de la théorie pure? Nous voudrions faire le point.

Avant d'examiner les aspects essentiels du mouvement touristique à Rome, ainsi que de l'ensemble des activités et des organisations qui s'y rattachent, nous devons considérer rapidement la nature particulière des attraits touristiques de la ville. En effet, chaque centre touristique a sa physionomie particulière, en fonction de laquelle devront être étudiés les aspects et les éléments permettant de formuler de nouveaux programmes et de nouvelles initiatives en vue d'une plus vaste mise en valeur de son potentiel. Il y a des localités à caractère essentiellement climatique, des localités panoramiques, des localités artistiques, historiques ou thermales et ainsi de suite. Leur importance s'accroît tout naturellement, lorsque deux ou plusieurs de ces caractéristiques s'additionnent.

«Accusée, levez‐vous…». Il n'est pas facile de prendre la défense de la statistique traditionnelle du tourisme, souvent et partout mise au banc d'accusation. Ne reproche‐t‐on pas à la méthode appliquée jusqu'ici d'être incomplète, partiale, compliquée, inapte à la comparaison internationale, voire naïve? D'aucuns font sonner le glas à la statistique existante en la situant dans une époque révolue du tourisme dont la forme actuelle, caractérisée à la fois par son ampleur et sa mobilité, demandera d'autres mesures des flux touristiques.

C'est devenu un lieu commun que de voir, à la suite d'André Siegfried, dans le tourisme, l'un des phénomènes les plus originaux et les plus importants du monde moderne, un fait social de première grandeur, qui s'est définitivement imposé, non seulement comme une technique quasi‐scientifique du voyage, mais aussi comme un témoignage significatif des tempéraments nationaux contemporains.